Celui qui me les a donnés en avait arraché, dans son très petit jardin de ville, des pieds pour faire de la place et planter des pieds de vraies violettes de Toulouse récupérées dans un ancien jardin de production.
Mon potager est quasiment vide, il a un coin à l'ombre et, chose extraordinaire dans mon jardin, une bonne épaisseur de vraie terre, sans cailloux, déjà "ouverte", il me sert de jauge pour les plantes.
Je me doute qu'il faudra les avoir à l'oeil, là-dedans, les iris du Japon ! Pour l'instant, ils semblent se plaire, même sous la neige comme ce week-end !